• Aïe ! J'ai oublié le titre que je voulais mettre...

     

    J'ai du nouveau !

    Sans blague, j'vous promet...

    Du nouveau concernant le vélo la nuit... pardon, tôt le matin quand il fait encore noir...

    C'est lui qui se plaint, pas moi... moi je prends les choses comme elles sont parce que c'est immuable... tout n'est pas immuable, juste certaines choses...

    Le voilà donc le vélo qui se plaint que quand c'est noir on voit rien même avec la lumière qui faisce droit devant déténébrant à peine le macadam noyé sous le matin d'avant-jour et de dire, de pleurer, qu'est-ce qu'il y en a marre de ce noir et des voitures d'en face qui allument leurs phares en plein-plein pour montrer qu'on a été vu... on sait que vous nous voyez, nous aussi on sait que vous êtes là, donc les lumières peuvent baisser... c'est le vélo qui dit ça... c'est pas moi...

    Parce que moi qu'est-ce que je fais quand j'ai les yeux illuminés ?

    Je regarde par terre !

    Le vélo peut pas regarder par terre... il peut pas baisser l'oeil lui... l'a qu'un oeil et il peut pas le contrôler...

    Vu sous cet angle c'est vrai qu'il a un point...

    Je lui bande l'oeil ?

    Il verra rien et y a pas de lumière pour éclairer la route dans le noir du matin d'avant-jour... parce que comme vous le savez, depuis que je raconte mes aventures de cycliste matinal, je marche jusqu'à l'entrée du village depuis le pont, qu'eque fois avant, qu'eque fois aprés, tandis que le vélo me suit...

    Plaisanterie, le vélo me suit pas... c'est moi qui le tient car un tien vaut mieux que deux tu l'auras... quoique un tu l'auras sincère c'est plus mieux que le tient de ce qu'on ne veut pas... n'est-ce pas ?

    Par contre quand la journée de travail est finie qu'est-ce qu'il est content le vélo quand dans le dos est le vent... j'avance tout seul qu'il dit et moi je rentre en silence parce que c'est pas marrant qu'il soit tout le temps en train de se plaindre... déjà que je dois appuyer sur les pédales, il veut pas que je le porte non plus ?

    Il lui en faut peu pour être heureux mon vélo...

    Tiens ? Ce n'est plus le vélo mais mon vélo maintenant !

    Tu m'en diras tant!

     


  • Commentaires

    1
    cat
    Mercredi 22 Avril 2009 à 10:01
    velo
    tu lui dit à ton velo que si il se plaind encore tu vas l'echanger contre une mobylette.
    2
    Sylvie
    Mercredi 22 Avril 2009 à 12:20
    A sa place ...
    Lui as-tu dis qu'il devait rester à sa place de vélo ? Je sais que ce n'est pas facile ... Moi aussi, j'ai des problèmes ... Mon frigo s'allume chaque fois que je l'ouvre ...! Une solution ?
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